BIENVENU SUR DOSTEKOD - POLITIQUE
  Page d'accueil
  Contact
  Livre d'or
  POLITIQUE

Politique

 

Reprise de la coopération et gestion de crise

Les choses n’ont pas traîné. La passation de pouvoirs entre Komlan Mally (photo) et son successeur à la Primature, Gilbert Fossoun Houngbo, s’est déroulée lundi à 16h. M. Houngbo avait été nommé dimanche par décret présidentiel. Komlan Mally quitte ses bureaux de la Cité de l’OUA avec la satisfaction d’être parvenu à un rétablissement de la coopération entre le Togo et les bailleurs de fonds.

Le communiqué de la présidence publié vendredi dernier lors de sa démission le souligne : « La mission principale du gouvernement était de renouer les liens de notre pays avec la communauté internationale ».

Cette reprise de la coopération s’est accompagnée d’aides financières substantielles et de remises de dettes.

Komlan Mally a géré les affaires gouvernementales dans un contexte délicat avec l’augmentation des produits de première nécessité, la hausse  du prix de l’essence et les catastrophes naturelles.

Malgré tout, il est parvenu à mettre en œuvre les mesures préconisées par le chef de l’Etat : hausse des salaires des fonctionnaires, revalorisation du smig et du smag, indemnités de déplacement accordée aux fonctionnaires, notamment.

Certains feront remarquer que ces résultats sont encore insuffisants ; sans doute. Mais en neuf mois à la Primature, Komlan Mally n’a pas démérité.

Gilbert Fossoun Houngbo a d’ailleurs félicité son prédécesseur pour « le sens de responsabilité avec lequel il a dirigé l’équipe gouvernementale surtout pendant la catastrophe naturelle qui a frappé le pays ».

Publié le 8 septembre 2008.


Politique

 Envoi à un ami   Imprimer   Vos commentaires 

 

Reprise de la coopération et gestion de crise

Les choses n’ont pas traîné. La passation de pouvoirs entre Komlan Mally (photo) et son successeur à la Primature, Gilbert Fossoun Houngbo, s’est déroulée lundi à 16h. M. Houngbo avait été nommé dimanche par décret présidentiel. Komlan Mally quitte ses bureaux de la Cité de l’OUA avec la satisfaction d’être parvenu à un rétablissement de la coopération entre le Togo et les bailleurs de fonds.

Le communiqué de la présidence publié vendredi dernier lors de sa démission le souligne : « La mission principale du gouvernement était de renouer les liens de notre pays avec la communauté internationale ».

Cette reprise de la coopération s’est accompagnée d’aides financières substantielles et de remises de dettes.

Komlan Mally a géré les affaires gouvernementales dans un contexte délicat avec l’augmentation des produits de première nécessité, la hausse  du prix de l’essence et les catastrophes naturelles.

Malgré tout, il est parvenu à mettre en œuvre les mesures préconisées par le chef de l’Etat : hausse des salaires des fonctionnaires, revalorisation du smig et du smag, indemnités de déplacement accordée aux fonctionnaires, notamment.

Certains feront remarquer que ces résultats sont encore insuffisants ; sans doute. Mais en neuf mois à la Primature, Komlan Mally n’a pas démérité.

Gilbert Fossoun Houngbo a d’ailleurs félicité son prédécesseur pour « le sens de responsabilité avec lequel il a dirigé l’équipe gouvernementale surtout pendant la catastrophe naturelle qui a frappé le pays ».

Publié le 8 septembre 2008.

 

Politique

 
Gilbert Fossoun Houngbo, "l’oiseau rare"
Le choix du président Faure Gnassingbé de nommer au poste de Premier ministre Gilbert Fossoun Houngbo, novice en politique mais rompu à la gestion financière, est un signal fort aux bailleurs de fonds qui ont renoué avec le Togo, selon des experts.
"M. Houngbo est un financier très compétent. C’est un bon choix en raison de la situation économique du pays", a estimé un responsable du bureau du Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud), à Lomé.

Ayant été privé d’aide substantielle des bailleurs de fonds, notamment de l’Union européenne (UE) durant quinze années, l’économie togolaise est malade, la croissance économique est en berne par rapport aux voisins régionaux.

Négative entre 2001 et 2002, elle n’a pas atteint la barre des 2% entre 2004 et 2006, selon les principaux indicateurs macroéconomiques publiés en avril par l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA).

Le secteur du phosphate, vital pour l'économie du pays (premier produit d’exportation avec 40% des recettes), est sinistré et la production a chuté de plus de moitié ces dix dernières années.

Peu connu des Togolais, M. Houngbo, 47 ans, qui a officiellement pris ses fonctions lundi, a dirigé le Pnud pour la région Afrique depuis décembre 2005.

Il a également été directeur de cabinet du Pnud ainsi que membre de l’équipe stratégique et directeur administratif et financier de cette agence onusienne.

Côté formation, il détient une maîtrise en Gestion des entreprises de l’Université de Lomé ainsi qu'un DESS en comptabilité et finance de l’Université de Trois Rivières, au Québec. Il est membre de l’Institut canadien des comptables certifiés.

Calme et rigoureux, M. Houngbo a déjoué tous les pronostics, car la plupart des Togolais, notamment militants et sympathisants du Rassemblement du peuple togolais (RPT, au pouvoir) s’attendaient à la nomination d’une personnalité proche du pouvoir et habituée des affaires politiques pour conduire le parti à la présidentielle de 2010.

Cette nomination est "une manière de redonner confiance aux bailleurs de fonds et surtout de les rassurer, car le pays a fonctionné pendant plusieurs années dans un système de gestion financière archaïque", a commenté le responsable d’une institution financière internationale.

Après le retour en décembre de l’UE qui avait rompu ses relations avec le Togo en 1993 en raison d'un "déficit démocratique", la plupart des bailleurs, dont la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI), ont renoué avec Lomé suite aux efforts fournis par les autorités dans le domaine du respect des droits de l’homme.

"Le choix (du nouveau Premier ministre) n’est pas mauvais, vu la place qu’occupe cette personnalité dans une grande institution internationale. En tout cas, sa +carte de visite+ est bien remplie pour rassurer les bailleurs de fonds", a estimé pour sa part un diplomate en poste à Lomé.

Des journaux parus lundi ont loué les "compétences" de l’homme.

"Ceux qui l’ont connu attestent qu’il est un homme averti qui allie une philosophie du travail lucidement bien centrée sur les résultats à une forte intégrité personnelle", a écrit le journal Golfe Info.

Pour le Combat du peuple, M. Gnassingbé a finalement trouvé "l’oiseau rare", car le "temps des complaisances est révolu".

M. Houngbo succède à Komlan Mally qui a présenté vendredi sa démission au président Faure Gnassingbé. M. Mally, 48 ans, avait été nommé en décembre au lendemain des élections législatives remportées par le RPT qui avait obtenu 50 des 81 sièges du Parlement.

Publié le 9 septembre 2008.

 


Radio

Ecoutez notre dernière édition

Derniers articles Politique

Remise du rapport jeudi - 10/09/2008
Faure reçoit le nouveau Premier ministre - 09/09/2008
Surprise et espoir - 09/09/2008
Reprise de la coopération et gestion de crise - 08/09/2008
Le patron du Pnud Afrique nommé Premier ministre - 08/09/2008
La surprise du chef - 08/09/2008
Démission du Premier ministre - 07/09/2008

Politique

 
 
Faure reçoit le nouveau Premier ministre
Au lendemain de sa nomination, le nouveau Premier Ministre du Togo, Gilbert Fossoun Houngbo, a été reçu lundi par le président Faure Gnassingbé.
A sa sortie d’audience il a indiqué qu’il était résolument engagé à œuvrer aux côtés du chef de l’Etat pour apporter des réponses concrètes aux populations en ce qui concerne, notamment, l’emploi des jeunes, la relance de l’économie ainsi que la réforme structurelle entreprise par le gouvernement sortant.

M. Houngbo a fait la promesse d’agir dans le sens de l’éclosion du secteur privé et des entreprises en même temps qu’une gestion judicieuse du capital humain.

« Nous sommes actuellement en train de travailler dans le cadre de la déclaration de la politique générale que nous allons présenté à l’Assemblée Nationale, ce qui nous permettra de repréciser les actions que nous auront à mener ».

Après cette rencontre, la cérémonie de passation de pouvoir a eu lieu avec Komlan Mally à la Primature.

M. Mally n’a pas tari d’éloges à l’endroit de son successeur « dont les compétences irréfutables sont bien connues de la communauté des bailleurs ».

Le nouveau PM a en retour, félicité son prédécesseur pour le sens de responsabilité avec lequel il a dirigé l’équipe gouvernementale surtout pendant la catastrophe naturelle qui a frappé le pays.

Il a promis de s’investir pour répondre aux attentes urgentes du peuple togolais.

"Il y a beaucoup de dossiers sur la table. Nous devons donc nous mettre rapidement au travail", a souligné le nouveau chef du gouvernement.
Publié le 9 septembre 2008.

Politique

 
 
Le patron du Pnud Afrique nommé Premier ministre
Le Togo a un nouveau Premier ministre. Il s’agit de Gilbert Fossoun Houngbo, nommé dimanche par décret présidentiel. Le successeur de Komlan Mally assumait jusqu’ici, la direction du bureau Afrique du PNUD (Programme des Nations unies pour le développement). Nommé à ce poste le 29 décembre 2005 par Kofi Annan (ancien secrétaire général de l’Onu, ndlr), il avait à gérer prés de la moitié du budget du PNUD et une équipe de 1500 personnes.
Le nouveau Premier ministre a effectué ses études de gestion à l’Université de Lomé puis a obtenu son diplôme d’expert-comptable à l’université du Québec Trois Rivières (Canada). Ce haut fonctionnaire international a une réputation d’excellent gestionnaire et de fin connaisseur des réalités du terrain.
Politique
 
 
Reprise de la coopération et gestion de crise
Les choses n’ont pas traîné. La passation de pouvoirs entre Komlan Mally (photo) et son successeur à la Primature, Gilbert Fossoun Houngbo, s’est déroulée lundi à 16h. M. Houngbo avait été nommé dimanche par décret présidentiel. Komlan Mally quitte ses bureaux de la Cité de l’OUA avec la satisfaction d’être parvenu à un rétablissement de la coopération entre le Togo et les bailleurs de fonds.
Le communiqué de la présidence publié vendredi dernier lors de sa démission le souligne : « La mission principale du gouvernement était de renouer les liens de notre pays avec la communauté internationale ».

Cette reprise de la coopération s’est accompagnée d’aides financières substantielles et de remises de dettes.

Komlan Mally a géré les affaires gouvernementales dans un contexte délicat avec l’augmentation des produits de première nécessité, la hausse  du prix de l’essence et les catastrophes naturelles.

Malgré tout, il est parvenu à mettre en œuvre les mesures préconisées par le chef de l’Etat : hausse des salaires des fonctionnaires, revalorisation du smig et du smag, indemnités de déplacement accordée aux fonctionnaires, notamment.

Certains feront remarquer que ces résultats sont encore insuffisants ; sans doute. Mais en neuf mois à la Primature, Komlan Mally n’a pas démérité.

Gilbert Fossoun Houngbo a d’ailleurs félicité son prédécesseur pour « le sens de responsabilité avec lequel il a dirigé l’équipe gouvernementale surtout pendant la catastrophe naturelle qui a frappé le pays ».

Publié le 8 septembre 2008.
 

11 Septembre: les candidats Obama et McCain observent une trêve à Ground Zero

 

NEW YORK (AFP) - 11/09/2008 13h09

 

 

 

Les candidats à la présidentielle américaine Barack Obama et John McCain observent jeudi une courte trêve dans la bataille électorale qui s'intensifie et devaient se recueillir sur le site de Ground Zero à New York pour le 7e anniversaire des attentats du 11 septembre.

 

Les cérémonies du 7e anniversaire des attentats contre le World Trade Center à New York ont débuté jeudi à 08H40 (12H40 GMT) sur le site de Ground Zero.

 

 

"Aujourd'hui nous commémorons une journée où le monde s'est brisé", a déclaré le maire Michael Bloomberg, en demandant à la ville d'observer une minute de silence à 08H46 pour marquer l'heure à laquelle un premier avion avait percuté une des deux tours jumelles.

 

Trois autres moments de silence devaient être observés dans la matinée, à l'heure à laquelle un deuxième avion avait frappé la deuxième tour, puis à celles où les deux tours jumelles s'étaient successivement effondrées.

 

Après les cérémonies officielles qui devaient durer toute la matinée, scandées par la lecture des noms des quelque 3.000 morts du 11-Septembre, l'après-midi devait être marquée par une visite historique sur le site de Ground Zero des candidats à la présidentielle américaine Barack Obama et John McCain.

 

Mais l'heure d'arrivée des deux hommes à l'emplacement où se dressaient les tours jumelles du World Trade Center (WTC), n'était communiquée mercredi ni par la mairie de New York, ni par les porte-parole des camps démocrate et républicain.

 

Des mesures de sécurité exceptionnelles, encore plus sévères que ces dernières années, ont été mises en place.

 

MM. Obama et McCain devaient traverser le site de Ground Zero en silence.

 

"Il n'y aura pas de discours", a indiqué une porte-parole du candidat démocrate, Linda Douglass. "La politique est mise de côté dans des moments pareils. Le sénateur Obama suspend ses annonces publicitaires de campagne pour la journée", a-t-elle ajouté.

 

Après cette visite historique de deux candidats à moins de deux mois du scrutin du 4 novembre, Barack Obama et John McCain devaient participer séparément jeudi soir à 20h00 (00h00 GMT vendredi) à un forum sur l'action civique animé par Richard Stengel, un rédacteur en chef de l'hebdomadaire Time, et organisé par "ServiceNation", une nouvelle coalition regroupant une centaine d'organisations engagées "dans le renforcement de la démocratie et la solution des problèmes par l'engagement civique".

 

Le sénateur de l'Illinois interviendra en second d'après le tirage au sort, a précisé Mme Douglass. "Il appellera les jeunes à consacrer un moment de leur vie au service public, à une cause qui les dépasse", a-t-elle ajouté. "Et je pense qu'il répondra aux railleries des républicains sur son propre engagement communautaire de jeunesse", a-t-elle encore dit.

 

 

 

© 2008 AFP

 

La Banque mondiale se retire du pays

Article publié le 11/09/2008 Dernière mise à jour le 11/09/2008 à 05:51 TU

 

L'institution financière a supprimé son aide aux infrastructures pétrolières. Ndjamena minimise et assure qu'il s'agit d'une décision « consensuelle ». Selon la Banque mondiale, le Tchad n'a jamais respecté les accords qui lui ont permis d'acheminer le pétrole produit dans la région de Doba (450 km au sud-est de la capitale) par un oléoduc de plus de 1 000 km reliant le site au terminal camerounais de Kribi, sur la côte du Golfe de Guinée. Ce pipeline avait été financé par la Banque mondiale, la Banque européenne d'investissement et un consortium de compagnies pétrolières contre l'engagement du Tchad d'affecter la majorité des revenus pétroliers au développement. Cette rupture laisse le champ libre au président Déby qui peut désormais disposer de ces fonds comme il l'entend.


Sa nomination intervient alors que le Togo vient de renouer avec la communauté politique et financière internationale (FMI, Banque mondiale, Bad, etc…)

Homme de consensus, la nomination de Gilbert Fossoun Houngbo s’insère dans le programme de réconciliation et de reconstruction nationales défini par le président Faure Gnassingbé.

Publié le 8 septembre 2008.


 


Radio

Derniers articles
 Envoi à un ami   Imprimer   Vos commentaires   Envoi à un ami   Imprimer   Vos commentaires   Envoi à un ami   Imprimer   Vos commentaires  Un hmme tient le portrait d'un pompier victime des attentats du 11 septembre 2001 à New York, jeudi 11 septembre 2008

Un hmme tient le portrait d'un pompier victime des attentats du 11 septembre 2001 à New York, jeudi 11 septembre 2008

Agrandir le texteRéduire le texteImprimerUn hmme tient le portrait d'un pompier victime des attentats du 11 septembre 2001 à New York, jeudi 11 septembre 2008

Les deux tours du World Trade Center le 11 septembre 2001 à New York

 

Un hmme tient le portrait d'un pompier victime des attentats du 11 septembre 2001 à New York, jeudi 11 septembre 2008

Près de Ground Zero, le 10 septembre 2008

icôneicôneimprimerLa rupture de la Banque mondiale avec le Tchad pourrait faire le jeu du président Deby. Il pourra utiliser les revenus du pétrole comme il l'entend. ( Photo : AFP )

La rupture de la Banque mondiale avec le Tchad pourrait faire le jeu du président Deby. Il pourra utiliser les revenus du pétrole comme il l'entend.
( Photo : AFP )

Voir le diaporama
Ecoutez notre dernière édition

Politique

Remise du rapport jeudi - 10/09/2008
Gilbert Fossoun Houngbo, "l’oiseau rare" - 09/09/2008
Faure reçoit le nouveau Premier ministre - 09/09/2008
Surprise et espoir - 09/09/2008
Reprise de la coopération et gestion de crise - 08/09/2008
La surprise du chef - 08/09/2008
Démission du Premier ministre - 07/09/2008

Aujourd'hui sont déjà 4 visiteurs (6 hits) Ici!
Ce site web a été créé gratuitement avec Ma-page.fr. Tu veux aussi ton propre site web ?
S'inscrire gratuitement